Huile Visage Jardin Sucré - Gourmandise et réconfort

L’histoire de cette huile bio pour le visage

La surface de la peau est naturellement protégée par un bouclier constitué d’un mélange d’eau et de substances grasses. Ce film hydrolipidique assure une fonction occlusive qui limite la déshydratation et participe au maintien de la souplesse de la peau. Cette pellicule n’est pas invulnérable : les agressions extérieures quotidiennes peuvent altérer son maillage. Ce phénomène génère une perte d’hydratation, des inconforts, des rougeurs et un toucher rugueux. Chez les peaux sèches, le manque biologique de lipides de surface est source d’une sensibilité accrue tout au long de l’année.

C’est pourquoi Maison Manifacier a formulé Jardin Sucré. Son cocktail d’huiles végétales, riche en acides gras essentiels, contribue à renforcer la précieuse phase lipidique de la barrière cutanée. Il apporte ainsi une sensation de confort et de protection immédiate, tout en améliorant l’apparence de la peau au fil des applications. Comme une petite douceur, à savourer sans modération.

L’ingrédient secret de ce sérum huileux

Le macérât huileux de mélilot (Melilotus officinalis extract, sur une base d’huile de sésame), une plante de la famille des Fabaceae réputée pour ses propriétés veinotoniques. En cosmétique, elle apporte une activité apaisante et astringente aux formules.

LE MÉLILOT

Parfois appelé « trèfle d’odeur », le mélilot est une plante bisannuelle à fleurs jaunes qui s’épanouit dans les jardins ou à l’état sauvage, au bord des chemins et sur les talus. Grande alliée des abeilles avec lesquelles elle entretient une relation privilégiée, elle est souvent cultivée comme plante mellifère. Elle répand une douce odeur de foin fraîchement coupé.

La variété officinale du mélilot s’est fait connaître comme plante médicinale. Elle contient en effet de la coumarine, un anticoagulant.

Cette particularité lui a valu d’être historiquement utilisée dans les cas d’insuffisance veino-lymphatique. On l’utilise ainsi contre les œdèmes et les varices. Galien, dès le IIe siècle après J.-C., la conseille pour ses vertus antispasmodiques et anesthésiques. Traditionnellement utilisé comme anti-inflammatoire, le mélilot s’est taillé une solide réputation en Europe aux XVe et XVIe siècles. Il entrait dans la prise en charge des orgelets et de la fatigue oculaire.

En beauté, il offrirait une activité bénéfique sur la microcirculation et la prévention du vieillissement cutané. Il apporte à cette huile visage bio des bienfaits apaisants et régénérants idéaux pour les peaux
sensibles, abîmées et inconfortables.